On ne s’improvise pas écoquartier

Quand il s’agit de concevoir un écoquartier, la localisation et la mobilité sont au coeur des priorités. Idéalement, le quartier doit bénéficier de la proximité d’une gare et d’arrêts de bus fréquemment desservis.
Les déplacements quotidiens à pied, en trottinette ou en vélo pour rejoindre les transports en commun sont encouragés et doivent être sécurisés. Quant aux commerces, services et plaines de jeux, ils seront suffisamment proches et variés pour motiver les résidents à laisser leur voiture au garage.

Outre ces aspects, un écoquartier doit également répondre aux défis énergétiques et environnementaux actuels. En limitant l’utilisation des ressources naturelles par exemple, notamment en intégrant des critères de mitoyenneté et d’ensoleillement des logements, en mettant l’accent sur l’isolation, la récupération de chaleur et l’utilisation d’énergies renouvelables.

Ensuite, il y a la végétation généreuse et les aménagements paysagers qui participent directement à la biodiversité, à la gestion des eaux et la qualité du cadre de vie.

Enfin, la nécessité de proposer une mixité des fonctions telles que les services, les commerces, et les logements alternant par exemple petits appartements, penthouses et maisons.

C’est fort de tous ces avantages que « Les Aulnées » affiche fièrement le qualificatif d’écoquartier.